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 Des textes.

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AuteurMessage
Grignette
Super-Héros
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Grignette


Nombre de messages : 74
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Localisation : Ain (01), au Nord de Lyon.
Date d'inscription : 05/01/2007

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MessageSujet: Des textes.   Des textes. EmptyMer 24 Jan - 18:51

On ne peut pas appeler ça des oeuvres, il n'y a pas de rimes, ça n'a rien d'aussi beau que les textes d'Aude, Etienne, Nico, mais bon, faisons abstraction XD;
Ouaiiis, des pavés imbuvables <3

Un très vieux.

Citation :
*. La petite étoile *.
. A un coup de blues .
. A un coup au coeur
.

.* Elle a voulu
. Juste pour essayer .
. Juste pour oublier .
Prendre ces petits cachets *.
. Si jolis .
. Si colorés .
.* Planer pour ne pas penser
. Juste un .
. Juste deux .
Ne penser à rien *.

Quelques un de plus .
. Quelques un de moins .
.* Ca ne va pas la tuer *.

Ce soir, la petite étoile s'est éteinte...
Les nuages l'ont portée jusqu'à la Lune
Mais trop tard
. Trop ~ tard .

Ce soir, la petite étoile s'est éteinte...
Ces cachets, si jolis, si colorés, l'ont aidée à oublier...
. Oubliée .

*. La petite étoile ne pensera plus jamais .*
.* Merci petits cachets *.
. Oui, merci .


C'est ce qu'on appelle une tentative d'auto-persuasion (mal écrite mais passons XD)

Citation :
C'était une soirée comme les autres.
Lorsqu'elle m'a ramenée chez moi, ou plutot sur la place en face de chez moi, j'étais réellement heureuse. Nous avions passé une journée géniale. Baignade, macdonald, et tout ça avec une amie que j'aime. Que demander de plus ?
Elle m'a dit de prendre soin de moi, comme à l'accoutumée. Bien entendu que je le ferais, la vie, et je m'en rends encore plus compte maintenant, est le plus beau cadeau que l'on puisse recevoir, malgré toutes ses emmerdes. Il faut en profiter le plus possible, parce que l'on peut la perdre à chaque instant.
Et là, tout a deraillé. Alors que je traversais sur le passage clouté, pour être en "sécurité", comme on nous l'apprend si bien, une voiture est arrivée, si vite... En entendant cette voiture arriver à si grande allure, je me suis retournée, et j'ai juste eu le temps de la voir s'approcher de moi. Je l'ai entendu freiner, mais c'était déja trop tard. En voyant les phares de la voiture si proches, je l'ai su. S'en était fini. Mais bon dieu, pourquoi arrivait elle si vite ? Pourquoi ne regardait elle pas sa route ? Pourquoi je ne pouvais m'empécher d'en vouloir au conducteur ?
Alors que tout devenait noir, et qu'une profonde douleur me déchirait, toute la haine en moi s'est envolée. Puis la douleur s'est atténuée, et une douce sensation, celle de flotter, s'est emparée de moi. J'ai entendu des voix, des gens crier, puis un temps que je ne pourrais déterminer plus tard, une sirène de pompiers.
Une douceur exquise a rempli tout mon être, et j'ai rouvert les yeux. Je me suis relevée, et j'ai regardé au sol mon corps. C'était la première fois que je me trouvais aussi belle, blanche et le visage serein. Après avoir regardé les personnes qui s'affairaient autours de moi, qui finalement se relevaient le visage dépité, j'ai levé instinctivement les yeux au ciel.
Ma grand mère me regardait, souriante, accompagnée de tous ceux que j'aimais et qui nous avaient quittés. Claude, Mémé Chinal, Mon grand père, Jeanette, Pépé Nan, Jean Sebastien. Je me suis élevée vers eux, et les portes du Paradis se sont ouvertes à moi.


Là haut, aucune tristesse. Une certaine appréhension au départ, un sentiment de douleur en pensant à tous ceux que j'avais laissés et qui souffraient. Et puis tous ces sentiments se sont évanouis avec douceur. Eux aussi nous rejoindraient un jour.
Mon seul regret est de n'avoir jamais pu leur dire à tous que je les aimais. Ne pas avoir pu leur dire de ne pas être triste, que la mort n'était qu'un renouveau, et que le jour où eux aussi partiraient, je leur tendrais les bras, qu'on serait à nouveau réunis.

La mort est quelque chose de très dur à affronter, surtout lorsqu'il s'agit d'une personne jeune. On se sent envahi par l'incompréhension, la douleur, un sentiment d'injustice. On ne comprend pas, on arrive pas à croire que plus jamais on ne les reverra.
Et au fil des mois, la douleur s'estompe, mais jamais l'amour qu'on leur portait ne s'efface.
Il faut malgré tout continuer, se battre, vivre, car c'est ce qu'ils auraient désiré plus que tout.

Délires après heure tardive.

Citation :
J't'ai vu t'écrouler devant mes yeux, un cri a retentit, je ne saurais te dire à qui de nous deux il appartenait. Ma sentance, ta souffrance, quelle différence ?


Tu m'as fixée, tu m'as souri, et tu as fermé les yeux. Je t'ai hurlé de me répondre, ton torse était recouvert de sang. Ton sang, mes hurlements.

Je pleurais, ou il pleuvait, je sais plus. J'ai demandé à Dieu de l'aide, je t'ai murmuré de ne pas partir. Ta paleur, ma douleur, notre peur.

Puis ton coeur a cessé de battre. Ensuite, je sais plus.


Pour une amie.

Citation :
Assise sur un banc, je regarde le vide. La porte s'ouvre, Il entre. Je Lui souris, et commence à Lui parler. Je ne connais personne ici, mais je m'amuse quand même. Il me propose un tour dehors, pour faire connaissance. J'attrappe une veste, une écharpe, je Le suis.
Il est très agréable, je ne vois pas le temps passer. Les rues se succèdent. Et Il me parle, et je bois Ses paroles. Puis d'Autres arrivent. Je les ai vus à la soirée. Ils s'éloignent, Ils chuchotent. Ils reviennent vers moi, Il me plaque contre le mur. Je Lui demande de s'éloigner, je me débats. Il m'assène un coup, je suis choquée par Sa violence. Il recommence. Et je ne comprend plus. Lui, Il est au dessus de moi. Je crie, je pleure. Le sol est dur et froid, Il est brutal, et moi j'ai mal.
Encore des coups, Ils sont en train de me violer. Je hurle, puis je sanglote, puis plus rien, je Les laisse faire. J'attends, je souffre. Ils repartent, je reboutonne mon pantalon, je ne sais pas quoi faire d'autre.
J'ai froid, j'attends. Ils sont partis. Je ferme les yeux, je pleure. Le froid, la douleur. Plus rien.

Pour un pov connard : D

Citation :
Encore une fois, je me retrouve emplie de désillusion,
A force, je ne devrais plus y faire attention,
Mais alors pourquoi je ne peux m'arréter de pleurer ?
Pourquoi est-ce qu'encore une fois j'ai voulu croire en notre amitié ?



J'ai le sentiment d'être un jouet
Qui ne t'a pas satisfait.
Je croyais que tu étais mon ami,
Mais tu voulais juste me mettre dans ton lit.


Satisfaire tes pulsions,
C'était ta seule obsession.
J'aurais pu craquer
Mais j'ai préféré lutter.


Je ne comprends pas pourquoi
Je ne cessais de penser à toi.
Tes envies m'effrayaient,
Mais étrangement m'attiraient.


Mes principes je les ai tenus
Et pour te l'expliquer je me suis mise à nu.
Mais mes paroles tu t'en foutais,
Mon corps est tout ce que tu voulais


Mumpf.

Citation :
° Parfois, j'aimerais tant souffrir....

Pour que tu fasses attention a moi, juste une fois...

° Parfois, j'aimerais tant tomber, inconsciente....
Pour que tu prennes soin de moi, juste une fois...

° Parfois, j'aimerais tant mourir....
Pour que tu vois que j'ai existé...

° Et que je t'ai aimé °
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